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Le chaînage de la ligne SNCF n° 716000 Tulle (photo) - Meymac, fragment du Chemin de fer Clermont - Tulle des origines, commence au mystérieux pk 597,048, alors que la ligne Coutras - Tulle, héritière du Grand Central, se termine au pk 173,415. Qui saura expliquer
cette valeur énigmatique, qui ne correspond à aucun itinéraire PO depuis Paris, à la rigueur PLM + PO via Clermont?
Photo réalisée le 18/08/2017 par
Jean-Pierre
ANDREANTE.
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Allier : Droiturier. [1 photo]
Ardèche : Bourg Saint Andéol. [1 photo]
Cantal : Andelat. [1 photo]
Corrèze : Cornil, Meymac 1 2, Estivals, Ussel, Peyrols sur Vézère 1 2 Montaignac sur Doustre 1 2, Eyrein 1 2, Soursac. [12 photos]
Creuse : Saint Sébastien 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14, la Courtine 1 2, Crozant 1 2, la Chapelle Baloue. [22 photos]
Gard : Cavillargues 1 2, Aimargues 1 2, Saze. [5 photos]
Haute Garonne : Avignonet Lauragais, Villefranche de Lauragais. [2 photos]
Hérault : Béziers. [1 photo]
Indre : Le Blanc 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13. [16 photos)
Loire : Roanne, Saint Just Saint Rambert. [3 photos)
Lot et Garonne : Astaffort 1 2. [2 photos]
Nièvre : Pougues les Eaux. [1 photo]
Puy de Dôme : Billom 1 2 3 4 5, Manzat 1 2, Issoire. [8 photos]
Rhône : Colombier Saugnieu, Lyon 1 2 3 4 5 6. [8 photos]
Yonne : Diges. [1 photo]
Ont contribué à cette édition : Fabien ALBERA, Jean-Pierre ANDREANTE, Christophe BENOIST, Michel COSTES, Jean-Pierre FRANCON, Jean-Marie GILSON, Florian LAVAL, Serge MONGE, Jacques RICHARDOT, Georges TURPIN. |
La présente édition est illustrée
par plus de 16798 photos. |
La présente édition est liée à une base de données
comptant 21052 entrées. |
Le n° 328 paraîtra le
01/01/2026
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Le Grand Contournement. |
L'avènement annoncé de relations TGV joignant directement Lyon à Bordeaux via la région parisienne doit se faire retourner dans leur tombe tous ceux qui ont œuvré à la construction et à l'exploitation de lignes de chemin de fer dans le Massif Central : financiers, ingénieurs et hommes du rang. Depuis Morny jusqu'à RailCoop, pour ne citer que les plus aventuriers.
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Ainsi achève de se dessiner un super-périphérique à grande vitesse, un anneau des métropoles à l'intérieur duquel tout doit disparaître : chemin de fer, agriculture, poste, commerces, cabinets médicaux, maternités, écoles, etc...
Après les fermetures et les suspensions massives de sections entières opérées ces dernières décennies, les quelques travaux ferroviaires de maintenance en cours ici ou là dans le Massif Central ne sont que des leurres. Outre le fait d'entraîner la fermeture des lignes pendant des mois, voire des années, ils ne pérennisent - sur ordre - les circulations qu'une quinzaine d'années, le temps que l'entreprise de désertification des hautes terres soit menée à son terme.
De développement ferroviaire dans le Massif Central, il n'est bien sûr plus question. Seule la Région Occitanie manifeste une volonté - réelle ou électoralement calculée - de rouvrir des lignes ou des gares. Depuis les États généraux du rail et de l’intermodalité de 2016, seule une ligne a été rouverte, celle de Luchon, et uniquement deux gares ont été remises en service : Bagnols sur Cèze et Pont Saint Esprit, dans le Gard. Pas vraiment au cœur du pays des volcans.
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Le vice-président de la Région chargé des Transports l'avoue lui même : « On en est à 8/9 ans de procédure pour un chantier qui va durer un an, voire 18 mois ». L'Etat sait ce qu'il fait lorsqu'il multiplie les contraintes administratives, qu'il espère insurmontables : autorisation environnementale, sécurisation des passages à niveau, loi sur l’eau, jusqu'à l'impact, pour les chauves-souris, du passage des TER dans des tunnels déjà empruntés par des trains de marchandises.
Dans ces conditions, on n'est pas prêt de revoir circuler des trains de voyageurs de part et d'autre du Teil, sur la ligne de la rive droite du Rhône, comme espéré par beaucoup.
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| Plus d'info / source : Jean-Pierre FRANCON (La Montagne), ActuNîmes. |
| Le reste de l'actualité
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